A la croisée des traditions musicales : Marlène Samoun
Venus nombreux, les amateurs de chants et de musiques arabo-andalous, judéo-espagnols ont applaudi Marlène Samoun en concert à Longeville-lès-Metz, samedi 20 septembre 2008. Le parcours choisi par la chanteuse a mené le public vers des romances sépharades, des gospels américains, de la liturgie juive, des airs du Maghreb et de l'Espagne andalouse tels que A la una yo nassi, It ain't necessarily so, Sometimes I feel like motherless child, Ani Maamin (en hébreu et en arabe), Yigdal chanté en hébreu et en arabe...
Accompagnée de Rachid Brahim-Djelloul, violoniste et d'Olivier Hutman, pianiste, Marlène Samoun a séduit son auditoire par la variété de son répertoire dans lequel la richesse des langues arabe, américaine, espagnole et hébraïque apporte à la musique une dimension universelle.
Laurence Aisene, Marlène Samoun, Rachid Brahim-Djelloul, Olivier Hutman
Laurence Aisene présente Marlène Samoun au public
Un clic sur les photos pour les agrandir
Un public sous le charme....
Laurence Aisene, présidente du Festival des Voix Sacrées,
Monsieur le Maire de Longeville-lès-Metz,
Marlène Samoun, Olivier Hutman et Rachid Brahim Djelloul
Photos Philippe Hoch
Pour lire l'article paru le 23 septembre 2008
un clic sur